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Recueil de poèmes, publié à 18 ans. Et « Figure d’Anjoue », premier poème, écrit à 7 ans. |
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Une enquête sur le diable en Occident, avec les interviews exclusives de Pierre Schaeffer, disciple de Gurdjieff, ou de Julius Evola, conseiller occulte de Mussolini, ou encore du professeur Banerjee de l’université de Jaïpur. Presse : « Original et même inattendu. » Hervé Lauwick, Jours de France. « Ouvrage présentant un intérêt capital ». Dernière Heure, Bruxelles. « Un essai diablement envoûtant. » Figaro Littéraire. |
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Le « club de rencontres » de la Ve République. Enquête sur les coulisses du pouvoir.. Presse : « Nous sommes dans le domaine du simulacre, cher à Jean Genêt, et du simili, monnaie de la société de consommation. » Paul Morelle, Le Monde. « Le livre le plus époustouflant, dans ce domaine. » E. Schneider, La Suisse. « C’est inspiré d’un livre rose qui vient de paraître chez Julliard, Les Filles de Madame Claude, où l’on décrit par le menu, avec doigté, le célèbre harem où se sont succédées pendant quinze ans plus de cinq cents ‘jeunes filles’.» Bernard Thomas, Le Canard Enchaîné. |
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Les asiles psychiatriques pour délits d’opinion, ou comment « soigner » les hommes lucides ? Un symptôme majeur du langage totalitaire. Presse : « Avec mes remerciements pour l’envoi de ce livre que je vais relire avec beaucoup d’intérêt et d’émotion. » Pierre Mendès-France. « Le premier livre à faire le tour complet du problème. » La Croix, 1er septembre 1977. «Le grand mérite du livre est de faire comprendre que la répression psychiatrique soviétique n’est ni un expédient provisoire, ni une déviation accidentelle, mais un aboutissement de l’évolution du système et qu’elle lui est aussi consubstantielle que l’extermination par les camps l’était au stalinisme ou au nazisme.» Pierre Daix, Le Quotidien de Paris, jeudi 12 mai 1977. |
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Comment bidouiller la génétique en gardant son âme ? Une enquête dans le monde, dans les grands laboratoires de la planète. Orient-Occident : un clivage spirituel. Presse : « Une mine de connaissances, de témoignages, d’anecdotes. » Marie-Laure Moinet, Science et Vie, mars 1986. « A lire ce livre passionnant, on se demande si les ingénieurs et les nouveaux ‘stratèges de la vie’ ne considèrent pas le microbe comme la plus belle conquête de l’homme après le cheval. » Frédéric de Towarnicki, Le Figaro, 27 décembre 1985. « Ca se lit comme un roman, la précision du travail scientifique en plus.» Sophie Séroussi, Libération, 27 décembre 1985. |
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Pour la première fois, l’histoire illustrée des Jésuites, de leur fondation aux temps modernes, de l’Extrême Orient (Chine ou Japon) à la dernière frontière d’Occident (Amérique). Presse : « L’humour jésuite n’est pas une fable. Et ces opticiens du monde, au regard incisif, ne se font plus d’illusion depuis belle lurette. Tels des caméléons, ils sont pauvres avec les pauvres, scientifiques avec les scientifiques, indiens avec les Indiens. Dans les collèges ou au fin fond de l’Amazonie. Au cœur de toutes les cultures, on les distingue, dans ce véritable kaléidoscope jésuite, dans les moindres recoins de la modernité : une étiquette de vin californien, un prospectus de collège ‘spécialisé dans la formation de femmes qui réussissent’ ( !) côtoient sans vergogne le plafond maniériste de l’église du collège romain Saint-Ignace ou les toiles contemporaines du scolastique slovène Marko Ivan Rupnik.» Jean-Michel Dumay, Le Monde, 14 décembre 1990. « Le livre de François Lebrun et Elizabeth Antébi montre l’influence de l’ordre sur nos regards intellectuels. » Paris-Match. Le livre des anniversaires ignatiens. » Bertrand Révillion, La Croix, 26 octobre 1990. |
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Presse : « Ami des Rothschild comme des pachas, il a contribué à créer l’Etat d’Israël. Une saga foisonnante de personnages, allègrement menée. » Alain de Penanster, Valeurs Actuelles. « Pour qui s’intéresse aux coulisses de la création de l’Etat d’Israël, cette biographie offre un précieux éclairage non seulement sur le monde d’alors mais sur les conflits actuels. Et si, comme le disent les juifs, l’âme des hommes ne meurt jamais, il en est une qui doit se sentir aujourd’hui particulièrement fière de sa descendance. » Caroline Bongrand, Elle. « Ce livre est un apport fondamental à l’histoire de la Palestine et du judaïsme palestinien pour toute cette période et introduit une perspective historique que l’historiographie sioniste a toujours négligée pour des raisons idéologiques. » Henry Laurens, Le Monde Diplomatique, Novembre 1996. |
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Presse : « La République avait ses ‘hussards noirs’, l’Alliance israélite universelle eut les siens. Ces missi dominici du judaïsme libéral voyaient dans la culture française issue des Lumières et de l’esprit révolutionnaire un puissant facteur de progrès. Parfois au péril de leur vie, ils s’acharnèrent à développer l’enseignement de notre langue dans les Balkans, au Maghreb et même au Moyen-Orient. A travers vingt portraits, E. Antébi leur rend un hommage très engagé.» Rémi Kauffer, Le Figaro Magazine, Samedi 13 novembre 1999. « Portraits de croisés du judaïsme : Dans son huitième ouvrage, E. Antébi fait corps avec ses héros, elle enrichit la galerie des portraits et fournit les clefs du monde que nous avons perdu. Vous mesurerez combien cette perte est cruelle, combien elle contribue, avec d’autres, à l’amenuisement de la France. Autour de vingt-quatre portraits en pied, hommes et femmes, croqués en peu de mots, E. Antébi balaie un siècle et, de New York à l’Asie centrale, une moitié de la planète. » Pierre Chaunu de l’Institut, Le Figaro, mardi 28 décembre 1999. « Ce livre est la chronique inspirée d’une réussite évidente et capitale dans l’histoire du judaïsme. On éprouve beaucoup d’émotion à la lecture de ces documents parfaitement replacés dans leurs contextes, inoubliables souvenirs d’une splendeur passée. » Dominique Bourel, Culture de France en Israël, revue de l’ambassade de France, mars-avril 2000. |
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Dans une collection vouée aux prénoms. |
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La destinée d’un homme et d’une terre hors du commun. Le creuset des « hommes qui ont fait fleurir le désert », sous les auspices de la France, un quart de siècle avant l’arrivée du premier sioniste en Palestine ottomane. Une histoire qui s’achève à l’aube sinistre des premières répressions hitlériennes. Presse : « Un livre clé indispensable pour comprendre les enjeux historiques de guerre et de paix dans cette région. » Terre Magazine, mars 2003. « Cette passionnante biographie, qui a obtenu le prix Zadoc Kahn, rend justice à l’action mal connue d’Edmond de Rothschild, dont les résultats furent considérables pour la création ultérieure de l’Etat d’Israël ». (FSJU.fr, « Découvertes »). Elizabeth Antébi a un grand talent de conteuse. » Ariel Sion, Actualité Juive, jeudi 27 mars 2003. |
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