1970 : Organise à l’Olympia le cocktail de lancement d’Ave Lucifer, avec une dizaine de voyants qui disent l’avenir aux invités.

1972 : Attachée de Presse chez Calmann-Lévy. Connaît alors François Dalle et Jacques Chancel.

Réalisatrice d’un film, tourné pour la division dirigée par Maurice Dalinval à l’Agence Publicis, sur le premier congrès international sur la pollution qui a lieu à Stockholm et où l’on voit pour la première fois les pêcheurs de Minamata empoisonnés au mercure. Le film est sponsorisé par les Banques Populaires.

1973 : Attachée de presse de Claude Planson pour son livre sur Le Vaudou.

1985 : Cocktail de lancement au Ministère de la Recherche pour la sortie du livre sur les Biotechnologies.

Pour le cocktail de lancement du livre sur les Biotechnologies, le ministre des Sciences et de la Recherche Hubert Curien a accepté de prêter une salle du ministère, rue Descartes. Et Philippe Bouvard s’en fait lui-même l’écho à la Une de France-Soir :

« Le moka de l’an 2000 doit beaucoup à Rhône-Poulenc : Les ayant-droits et les hirondelles de buffet doivent s’attendre à quelques surprises le 21 octobre prochain. Ce jour-là, le cocktail offert par M. Hubert Curien à l’occasion de la sortie de Le Génie de la Vie d’Elizabeth Antébi, proposera des mycoprotéines, préparées par Jean-Paul Bonin, le chef du Crillon, et un moka xanthane de Rhône-Poulenc, la substance que le génie génétique tire d’un champignon et qui sert de gélifiant et d’émulsifiant en charcuterie et dans les glaces. Pour écrire ce livre traitant des nourritures de demain et qui surprendra beaucoup les gourmets d’aujourd’hui, Elizabeth Antébi a dû percer certains secrets industriels :

La grande bouffe pratiquée en laboratoire s’obtient en introduisant un gène étranger. Déjà, à Bordeaux, on obtient des pêches carrées, plus faciles à emballer, et d’énormes tomates, moins pulpeuses mais contenant davantage de jus concentré. Dans vingt ans, le panorama alimentaire sera totalement différent de celui que nous connaissons aujourd’hui.

Parmi les expériences en cours : le croisement des cafés arabica et robusta, non pas en mélangeant les grains, mais par la création d’une nouvelle espèce ; un début de commercialisation en Angleterre de protéines végétales imitant la substance du poulet mais qui coûtent beaucoup moins cher. » Philippe Bouvard, France-Soir, 2 octobre 1985.

Dans Tonus, le Dr. Ch. Bonnes-Magdeleinat ajoute : « Pour être dans le ton, ce cocktail était un ‘bio-buffet’ très original ! »

Les grandes entreprises s’étaient associées au bio-buffet en fournissant la table : Moët et Chandon (champagne), Mme Corinne Mentzelopoulos-Petit (Château-Margaux « Pavillon Rouge 1980 »), Suntory et en France Daimaru (saké), Pernod-Ricard (alcools, jus de fruits, Orangina, fenouil en tube), Kronenbourg et Canterbrau (bière) Maison Anthès (Camembert et Roquefort), Bel (fromage), Union Laitière Normande (yoghourts), Ecole Nationale d’Industrie Laitière de Mamirolles (beurre et fromage), Les Pècheries des Lilas (poissons), La Culture biologique-Moulin de l’Abbaye, Conche (légumes), La Dorina (fruits et légumes), Colom (fruits), Lionel Poilâne (pains et tartes), Ganachaud (pains), Pain Jacquet et son procédé « Little French Bakery » (cuisson sur place de pains), Rhône-Poulenc (moka au xanthane), Delbard (roses en tube), CNRS (blé en tube).

Ainsi que les quatre plus grands patrons d’industrie dans la branche biotechnologique, dont le patron de Roussel-Uclaf et … Le Floch-Prigent, PDG de Rhône-Poulenc (photo de droite).

Le buffet est tout entier constitué de produits biotechnologiques offerts par les firmes, à commencer par le champagne et le saké. Le pain Jacquet a fait apporter un four pour cuire le pain, et le Crillon a délégué quelqu’un pour le buffet. Nous servons du gâteau au chocolat au xanthane de Rhône-Poulenc.

Parmi les invités, aussi, le patron de Transgène, M. Eisenmann, que je retrouverai le jour où il présidera le jury du Prix Zadoc Kahn 2000, qui me fut décerné pour ma thèse sur Edmond de Rothschild. Et Jacques Bonomo, du Figaro-Magazine, et Christian La Mazière, révélé par le film d’enquête Français, si vous saviez, et auteur du Rêveur Casqué.

Eisenmann,

La Mazière et Bonomo :

Ainsi que : Jack Gee, journaliste anglais et Henri Déplantes, ingénieur chez Dassault, créateur du Mirage, l’écrivain et journaliste Georges Walter, et le conseiller de Laurent Fabius, François Gros qui me cite dans son livre.

1987 : Cocktail de lancement au Crillon d’un livre de Henri Viard sur les restaurants de Paris :

, avec Jean-Paul Aron

1990 : J’organise le lancement du livre sur les Jésuites à Paris a lieu rue de Sèvres, chez les jésuites. Pour l’occasion, j’avais trouvé un Bordeaux, libellé « Château les Jésuites », que présentent tour à tour mon co-auteur, François Lebrun, et le directeur des éditions Stock, à l’époque, Alain Carrière :

ainsi que le Père Calvez, s.j., à g. avec F. Lebrun, à dr. avec Jacques le Goff.

Parmi les invités, Jean Lacouture, qui prépare son propre livre

et s’en entretient avec le père Calvez

avant de poser avec Jacques Le Goff et les auteurs :

1987 : Organise le lancement du livre sur L’Ecosse (éditions Hologramme) en obtenant la collaboration des producteurs de whiskies écossais.

Conseil en communication/Publicité institutionnelle/Journaux d’Entreprises

1968 : Travaille pour Maurice Dalinval à Publicis, en particulier sur le magazine des Opticiens Krys.

1978-86 : Rédactrice d’articles et de reportages institutionnels, pour Copexen.

-Met au point avec le graphiste Tillmann Eichhorn le journal interne Siemenscope pour Siemens France.

- La firme américaine Avnet, aux Etats-Unis, me propose de diriger un huit-pages historique sur l’histoire des composants électroniques.

- Conférences, après la réalisation de La Grande Epopée de l’Electronique et des Biotechnologies : le Génie de la Vie, ainsi que l’enquête sur le Cerveau, sur les diverses approches de l’entreprise en Europe, au Japon, aux Etats-Unis.

1993 : Rédactrice pour La Lettre de Coolidge, de GE Medical Systems en Europe.