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  Courrier des surfeurs



Sous le clic, la plage : les réactions de nos surfeurs.

ARCHIVES n° 1 : Jugements sur mon site et l'histoire de Pierre Carbonel, de l'Art Brut et du Stylo à bille. Expo au Musée d'Art Moderne de Lille sur Dubuffet et l'Art brut.
Ce courrier virtuel sera consacré à vos réactions, à vos questions, à vos recherches.
Notre co-webmestre et animatrice : Freda. Site de la rédactrice en chef .

Un site magnifique sur Cyrano de Bergerac :
Bonjour, très joli site, très complice avec l'internaute.
Pour celui dont je m'occupe, auriez vous la gentillesse de m'offrir les photos des fresques du bistrot Cyrano dont je vais parler aussi (je l'ai découvert il y a quelques semaines à peine) pour que je puisse les ajouter, en mentionnant leur provenance bien sûr
Merci d'avance
Thomas Sertillanges
Www.cyranodebergerac.fr
OK,OK, soyez gentil de mentionner si vous le pouvez que je fais l'histoire des lieux ou des familles en CD-ROMs, pour peu qu'on me le demande. Merci beaucoup, pas grave si vous ne pouvez pas. Je vais aller voir votre site,
Bien à vous,
Elizabeth Antébi

Suivi d'une correspondance dont quelques extraits :
En fait, j'étais parti pour vous dire que j'ai passé un grand moment sur votre site. Cyrano ne m'en veut pas de l'avoir ainsi laisser tomber, parce que c'est une bien belle balade que vous proposez là.
Mon site professionnel a honte de la qualité du vôtre (et de son contenu) mais si vous voulez en savoir plus sur celui qui, Madame, ose se déclarer
déjà votre très humble et très obéissant serviteur : www.sertillanges.info
Mon site, c'était un peu une "création sur web" de feuilleton autobiographique, et puis je voulais aussi qu'il serve à me trouver des clients (là, c'est moins réussi, ils ont peur et font kaï kaï kaï), peut-être que c'est trop "overevaluated" et qu'il faut que je revise mes tactiques. Mais j'aimerais créer des sites selon le caractère des gens ou leurs buts stratégiques précis. Au fond, autrefois les nobles et grands bourgeois, puis petits bourgeois avaient leurs portraitistes, pourquoi ne pas transposer ça sur virtuel, avec une brochure ou emballage personnalisé réels ?
Je ne crois pas qu'ils font kaï kaï kaï mais je ne suis pas sûr qu'ils comprennent ce que vous faites. Votre site est une sympathique, souriante, surprenante, balade "Au pays d'Elizabeth". Et déroutante aussi (ce qui est agréable dans une balade) car on n'en comprend pas bien l'architecture, avec notamment des icônes qui sont plus des invitations à découvrir ce qu'il y a derrière qu'une explication sur le fonctionnement du site. En d'autres termes, il y a une sorte d'antinomie entre la conception de votre site où vous nous invitez à musarder, et l'emploi du mot "client" qui implique alors une démarche commerciale plus structurée. De plus, il faut sans doute distinguer l'offre de réalisation de site qui s'adresse à des entreprises et celle qui pourrait répondre à l'attente de "bourgeois cherchant leur portraitiste". Voilà quelques modestes réflexions, leur peu d'intérêt étant sans doute due à la chaleur qui accable Paris ce matin.
Eh bien je suis allée me promener sur le vôtre de site et je comprends qu'il est, c'est vrai, bien mieux structuré pour présenter vos travaux. Vous avez raison, je vais faire un site boulot dans le genre de celui que j'ai réalisé pour Pierre Motyl : www.mediumweb.be Vous n'avez pas chômé non plus, comme on dit. C'est drôle, autre point commun, nous avons tous les deux commencé par le théâtre. Bon, j'irai voir plus tard un peu plus longuement, sinon nous n'aurions plus rien à nous dire si nous nous rencontrons ...

De: <MACCHECKEN@aol.com>
À: <antebiel@claranet.fr>
Objet: le Cyrano
Date: mardi 5 juillet 2005 13:09
Bon jour
Pardon, I only have a little French !
I was very interested to see the little piece you did on Le Cyrano bar/cafe on Rue Biot as its our favourite bar in Paris. We always stay on Rue des Batignolles so are very close to Clichy and we like to end the evening by having a few drinks at the Cyrano. From when we first went in there a couple of years back we felt very comfortable and 'at home' there as it's a bit unusual !
From things I have read on the internet, and also in a book of the 'zinc' bars of Paris which I bought, it seems that it has changed very much from a few years ago when it was very much a 'football' bar with lots of club scarves ? I can't imagine it like that. But it does seem the kind of place which attracts interesting people as regulars. The guy who used to be behind the bar when we first went there, he had a Breton maillot and a curled moustache, was a character - but he seems to have moved on and not work there any more? The new guy seems more 'ordinary' !
Anyway I just thought I'd let you know that the Cyrano is appreciated by it's not-so-frequent customers as well as the more regular ones. If you have any news of it it would be nice to hear ? Until we are next in Paris.
Katherine

Edgar Faure, auteur de romans policiers
De: "Association Edgar Faure" <r.oppenheimer@edgarfaure.fr>
Objet: Petit fils du Président Edgar Faure
Date: dimanche 16 octobre 2005 19:42
Je souhaitais remercier l'auteur pour la note affectueuse sur mon grand-père le Président Edgar Faure
Cordialement
Rodolphe Oppenheimer.
Voir le SITE DE L'ASSOCIATION EDGAR FAURE qui a pour devise, ce mot très faurien : "Ce n'est pas la Girouette qui tourne, c'est le Vent".

Echange de correspondance avec Philippe Rocher, Universitaire et bien d'autres choses :
>>> ----- Original Message -----
>> From: "Philippe Rocher" <pljrocher@free.fr>
>> To: <antebiel@claranet.fr>
>> Sent: Wednesday, April 27, 2005 12:52 PM
>> Subject: Relation de Philippe Rocher
>> Chère Madame Antébi,
>> Je viens de prendre connaissance de votre site sur l'internet. C'est proprement extraordinaire et fascinant. Votre vie est sans conteste "un (beau) roman".
>> J'ai dans ma bibliothèque l'ouvrage que vous avez publié sur les Jésuites. Fort bel ouvrage, bien renseigné, auquel je n'hésite pas à faire retour lorsque j'ai à travailler sur l'histoire générale des jésuites. Je tente de terminer une thèse sur un grand collège jésuite. Je sais maintenant l'existence de ce CD-rom que vous avez conçu relativement à la pédagogie jésuite. Je suis très intéressé pour me le procurer. Avez-vous le moyen de m'en procurer un exemplaire ou bien pouvez-vous m'indiquer comment faire ? Merci par avance de vos renseignements sur cette question.
>> Pour terminer, je vous redis encore mon admiration pour le travail que représente votre site. Je vous souhaite aussi encore beaucoup de succès dans vos différentes activités qui témoignent de votre grande inventivité. Quoique enseignant, j'aimerais bien pouvoir un jour évoluer dans le domaine de l'édition.
>> Veuillez croire, Chère Madame, Antébi, à l'expression de mes sincères salutations.
>> Philippe Rocher
Relation:
I - récit fait par un voyageur, un explorateur.
"Relations des Jésuites de la Nouvelle-France"
II - Personne avec laquelle on est en relation.
Relation de Philippe Rocher"
Cher Monsieur,
D'abord merci de vos compliments, toujours agréables à lire. Sur quoi porte exactement votre thèse ?
A propos du CD-ROM, je vends les rares exemplaires qui me restent dans ma librairie de Bécherel. Peut-être passerez-vous un jour à Bécherel, dans ce cas venez me voir, nous discuterons enseignement, édition, création, ce qui étoffera vos deux acceptions du mot de "relation". Qu'enseignez-vous et où ?
Bien à vous,
Elizabeth Antébi
Chère Madame Antébi,
Merci tout d'abord pour votre réponse rapide.
Il me semble reconnaître, une fois encore, votre vivacité d'esprit. Mais il n'était pas dans mon intention de vous flatter.
Voici quelques éléments de réponse à vos questions.
Ma thèse de doctorat d'histoire s'intitule "Un collège de la Compagnie de
Jésus au 19ème-20ème siècle: Notre-Dame de Mongré à Villefranche-sur-Saône, 1851-1951". J'essaie non seulement de décrire l'évolution de la formation dispensée par les pères jésuites dans cet établissement, mais d'évoquer à partir de cet exemple de "microhistoire" l'évolution de la formation jésuite en France à l'époque contemporaine. J'essaie aussi de montrer la place que tient dans le ministère de la Compagnie l'apostolat scolaire. J'entends aussi montrer comment les pères se réapproprient au 19ème siècle leur tradition éducative, particulièrement au travers du Ratio studiorum, quand augmente le poids du baccalauréat dans l'enseignement secondaire. Je mesure ensuite l'influence de "l'école nouvelle" à l'heure de la redécouverte des sources de la pédagogie jésuite et de l'essor de l'Action catholique spécialisée. Je termine sur la dimension de "lieu de mémoire" de l'enseignement jésuite au lendemain de la Seconde guerre mondiale, aux heures de la guerre scolaire antérieure à la loi Debré.
Parmi les anciens élèves de Mongré, il faut citer Pierre Teilhard de Chardin ou Henri de Lubac. Parmi ses professeurs, on peut relever les noms d'Henri Bremond, de Victor Fontoynont, de François Charmot ou de François Varillon.
J'ai beaucoup tardé dans la rédaction de cette thèse, que j'espère achever cette année, parce que j'ai un peu étudié l'histoire de la Compagnie en France, au Québec et en Belgique pour avoir une certaine familiarité avec le sujet et pour établir des points de comparaison.
J'ai notamment publié en 2001, avec un collègue et ami Dominique Avon, "Les jésuites et la société française" aux éditions Privat. J'ai participé à la grande entreprise du "Dictionnaire historique de l'éducation chrétienne d'expression française" (éditions don Bosco) et publié nombre d'articles sur l'histoire des jésuites mais aussi sur des sujets divers (catholiques et cinéma particulièrement) et participé à plusieurs colloques. J'ai aussi enseigné l'histoire et géographie à des élèves de premières S et STT. Je suis par ailleurs préfet des études des classes de première à l'Externat Sainte-Marie de Lyon.
J'ai tout récemment lu une information relative à Bécherel: l'organisation d'une manifestation de soutien au grec. J'en ai fait part à mes collègues hellenistes. Je ne manquerai pas de vous saluer lors de mon passage à Bécherel qui est grâce à vous terre de résistance et d'innovation.
Pour le CD-Rom, je suis tout prêt à l'acquérir, ainsi que je vous l'ai dit. Au prix qui vous paraîtra convenir
.
En vous redisant ma sincère admiration pour tout le beau travail que vous avez accompli, et pour votre beau parcours aussi, je vous prie de croire,
Chère Madame Antébi, à l'expression de mes sincères salutations
Philippe Rocher
Nous pourrions peut-être convenir d'un "troc". Votre CD-rom contre l'ouvrage "Les jésuites et la société française"? Il n'y a peut-être pas équivalence, mais c'est tout ce que je puis décemment vous adresser. Les actes du colloque sur les "Jésuites à Lyon" auquel j'ai participé ne sont toujours pas, à ma connaissance, parus.
Un détail: je suis absent du 10 au 22 mai car j'ai été invité comme juré du Prix oecuménique à Cannes.
Je retiens votre invitation et vous redis encore toute mon admiration pour
votre oeuvre.
En vous remerciant, je vous prie de toujours croire, Chère Madame Antébi, à l'expression de mes sincères salutations
Philippe Rocher

Cher Monsieur,
OK pour le troc. Qu'est-ce que le prix oecuménique ? Il est en tout cas bien
agréable s'il permet de siéger à Cannes et non dans nos régions venteuses -
J'exagère car aujourd'hui un soleil rutilant baigne les vieilles pierres.
Je vous rappelle mon adresse à Bécherel : Librairie "Maître Albert", 15
place Alexandre Jehanin, 35 190 Bécherel.
Avec mes pensées chaleureuses,
Elizabeth Antébi

Cher Monsieur,
Merci d'avoir si promptement envoyé votre livre que j'ai bien reçu et déjà commencé. C'est une très bonne idée d'avoir étudié la période la moins connue, celle de la "résurrection" de la Compagnie. Avez-vous reçu vous-même le CD-ROM ? Je l'espère.
La prochaine fois pourquoi ne pas citer l'ouvrage que nous avons consacré, François Lebrun et moi-même à nos amis, sous le titre "Les jésuites ou la Gloire de Dieu" (Stock-Antébi, 1990) ? Nous y parlons de Gabriel Gruber et de Brzozowski (avec leurs portraits), de Pierre Picot de Clorivière, et des "Temps de l'Immersion" (toute notre Deuxième Partie) en France et dans le monde. Et puis du rôle des femmes d'obédience ignacienne ... Il en est une qui mérite une monographie, la belle Cornelia Connelly, fondatrice du Holy Child.
Il est curieux que j'aie rencontré une nouvelle fois les Jésuites de l'autre côté de la barrière, si je puis dire, lorsque j'ai écrit "L'Homme du Sérail", puisque la fameuse Affaire Thomas ou pseudo-crime de sang à Damas en 1840, qui a rameuté le monde entier, en particulier l'Angleterre et la France, et a été à l'orgine de la Fondation de l'Alliance israélite universelle et de bien d'autres choses - plus célèbre en son temps que l'affaire Dreyfus au niveau des Chancelleries et des rapports avec l'Egypte et l'Empire ottoman - est née dans les couvents et a été propagée par les Juifs de Beyrouth et leurs imprimeries. Je l'ai raconté en détail d'après les dizaines de milliers de lettres des directeurs et instituteurs des écoles de l'Alliance sur le pourtour de la Méditerranée.
A très bientôt vous lire (en e-mail et autres pages du livre), très cordialement,
Elizabeth Antébi
Chère Elizabeth Antébi,
Il faut bien le reconnaître, l’absence de votre ouvrage est une omission de taille. Je me souviens cependant des contraintes de l’éditeur qui a littéralement tronqué la bibliographie proposée. De ce point de vue, et sur quelques autres, je garde un souvenir mitigé de “l’aventure éditoriale” avec les éditions Privat.
J’ai la chance de posséder votre ouvrage dans ma bibliothèque. Il est aussi élégant qu’érudit. C’est un texte, je vous l’ai écrit, que j’aime beaucoup. J’espère pouvoir un jour vous en reparler.
J’ai bien reçu votre CDRom et je vous en remercie vivement.
J’ai aussi parlé de vous à un collègue qui est en recherche de conseil avant de se lancer dans l’aventure de la rédaction de romans. Je lui ai fait part de mon admiration pour votre parcours et je lui ai communiqué vos coordonnées. Peut-être recevrez-vous de ses nouvelles.
En vous souhaitant toujours, non seulement du bon travail, mais mille belles découvertes, je vous assure, Chère Elizabeth Antébi, de ma reconnaissance ainsi que de mon admiration.
Ph. Rocher
Chère Madame
Je suis tombé par hasard sur votre site Internet qui est fort interessant.
Je suis moi-même un grand lecteur de Shahar, et en lisant sur votre site le récit d'une soiree avec David Shahar, et le texte de Shahar qui l'accompagne, je me suis souvenu d'un passage presque identique dans les Nuits de Lutece.
C'est vraiment extraordinaire de voir comment ce roman (son dernier si je ne me trompe pas) est ainsi ne d'une soirée dans un restaurant russe a Paris...
Connaissez-vous ce livre? La légende de la photo avec Shahar sur votre site laisse supposer que non...
En tout cas c'est tres intéressant.
Cordial shalom
Paul Landau
Jerusalem

J ’ai beaucoup aimé votre site Web ( découvert par hasard , en faisant une recherche sur Ronald Laing)
J’ai connu Pierre Motyl à l’université Libre de Bruxelles en mai 68 , mais ne m’attendais pas vraiment à le rencontrer sur ce website ....
Cordialement
Paul Linkowski
P.S. Le site de Pierre Motyl est très bon et c’est vraiment “lui “


L'émir Abd el-Kader
Bonjour,
C'est avec plaisir que j'ai visité votre site, aussi original que bien documenté. J'effectue des recherches sur l'émir Abd-el-Kader dans le cadre universitaire. Je suis tombé sur les quelques lignes dans votre site où vous racontez brièvement son action en faveur de la communauté chrétienne et des ressortissants européens de Damas. Vous résumez les raisons qui ont motivé son action, "[...] en mémoire des religieuses du château d'Amboise, où il avait été jadis détenu prisonnier ...". L'émir Abd el-Kader, lors de sa captivité, illégale au regard du traité de reddition signé par les autorités françaises, a effectivement eu de très chaleureux contacts avec nombre de visiteurs et notamment avec des hommes d'église et des religieuses. Les relations avec les Soeurs hospitalières (de l'ordre de Saint Dominique) au château d'Amboise, ont été des plus utiles pour les proches de l'émir qui souffraient de nombreux maux liés à leur captivité. Au regard des lettres échangées par la suite entre l'émir Abd el-Kader et les Soeurs Saint-Maurice et Saint-Pierre, cette fraternité des coeurs allait dans les deux sens. Une des soeurs ira jusqu'à déclarer : "Si je pouvais aller servir cet homme, là où il ira, jusqu'à la fin de mes jours je le ferais." Cela montre à quel point ces "épouses du Christ" ont vu dans cet homme un modèle d'humanité exceptionnel. Et lorsque l'émir intervient en faveur des Chrétiens, ce n'est pas, comme vous l'écrivez, en souvenir de ces soeurs "en Dieu", mais comme il le dit lui-même dans ses nombreux courriers de réponse aux lettres de remerciements qui ont suivi les événements de l'été 1860 [massacre par les Druses des Chrétiens du Liban] : "Cet acte n'est rien d'autre que l'obéissance aux principes de notre loi sacrée et aux devoirs de l'humanité." C'est donc au nom de l'Islam et des "droits de l'homme" (au milieu du XIXème siècle, cette expression est en avance sur son temps). Je tenais à vous préciser ces points qui complètent les quelques lignes que vous consacrez à cette figure majeure du XIXème siècle.Ahmed Bouyerdene
.

Oui, vous avez raison de dire que ce sont les principes de ces deux religions bien comprises et donc, dans le cas de l'Emir, des lois de l'Islam, qui furent la source de son comportement. Je vouslais simplement dire qu'en outre il connaissait de près les Chrétiens, parfois chers à son coeur, quand il ne s'agissait évidemment pas de ces troupes qui se disaient chrétiennes tout en manquant à la parole donnée. La phrase de la soeur est particulirement touchante. Merci des ces précisions.

(à la suite du Festival Européen Latin Grec:)
Villelmus Cooper
(Inductionis interpretationisque auctor
Elizabethae Villelmus Cooper s.p.d.
In Novo Mundo consurrexit novus vates, in caelis occidentalibus stella nova. Vates Franciscus Caprarius Cuernavacae carminum novorum Latinorum heroicorum suorum librum edidit, Monumenta Mexicana: Mexican Heritage. Hae decem carmina modo Nasonis Mexicanae gentis fabulam nobiliter narrant. Nuntium plurem de libro videre potes in situ nostro interretale www.darkvirginbooks.com. Ut pro tibi Caprarii poesis ingenium iudicas, nonnullos hexametros de Virginis Fuscae specie profero:
Proh! quae majestas formae, quae gratia vultus,
Quis decor eximius! fulgenti lumine circum
Omnia inardescunt, male dum subsistere tentat
Firma acies radiosque nequit perferre micantes.
Os leviter pingit fuscus color atra decorat
Caesaries frontem fusis utrinque capillis.
Casta columbarum blandos imitantur ocellos
Lumina subroseae simulant jucunda pudore
Punica male genae, pretiosum labra corallum
Emicat in tenero praeclara modestia vultu
Dum jungit palmas, oculos dejecta decoros.
Tincta nitet vestis patrio spectabilis ostro
Sidereque infuso circumvelatur amictu.
In opinione meo,

vatum Columbus profecto in Novo Mundo adventus est.
Ut valeas,
haut de pagehttp://www.latin.org/latin/index.shtml
http://www.latin.org/latin/naills/members.html

Pascal Charvet (Inspecteur Général des Lettres, auteur de nombreux ouvrages, co-auteur du Dictionnaire d'Alexandre)
Objet: Re: festival grec latin
Date: samedi 12 mars 2005 21:20
Chère Élizabeth, je me suis promené avec le plus grand intérêt à l'adresse que vous m'avez indiquée. Dès que le site langue et culture de l'Antiquité du Ministère sera opératoire (d'ici peu je l'espère) je ferai créer des liens avec cette adresse net. Je tenais aussi à vous remercier de votre accueil chaleureux ainsi que de ce festival remarquable.
Votre délicatesse votre science, et votre charme aussi lui ont donné une résonance toute particulière. Je ne doute pas que ce beau succès ne s'amplifie encore au fil des ans.`
Amitiés
Pascal Charvet

Amy Dockser Marcus (écrivain et journaliste, Wall Street Journal)
Hi Elizabeth,
How are you? I hope spring has come to Paris. Here, we are still struggling with the weather--more rain than sun. But as an optimist, I live in hope that winter will finally retreat and allow us to enjoy the month of May.
I have an idea. I know it's a little bit unusual, but I wanted to run it by you anyway. You know how I am writing about Albert Antebi in my book? And I am also writing about many of the key Arab personalities in Jerusalem during this time, including Ruhi Khalidi, who I am sure you remember was mentioned by Albert in some of his letters.
I was hoping to introduce you to one of Ruhi Khalidi's descendants, a lovely man named Walid Khalidi. He has written about Ruhi Khalidi, just as you have written about Albert Antebi, and I so much wanted the two of you to meet.
Here is my question: Walid is an older man, and I do not know how much he travels now. (I plan to check with him about this.) He lives in Cambridge--he was a professor at Harvard University for many years--a lovely city outside of Boston. By any chance--in the coming year, do you have any plans to travel to the United States??
Yours,
Amy

Dear Amy,
Do you really intend to marry me so late in my life ? No kidding, it would be a pleasure to meet another descendants of our "Old Brave Giants". The only problem is that I'm now for a while between Brittany and Paris, with nothing to do in Boston till now.
But, as our dear Tony Crawford told me that the Rothschild book will be translated at the end 2006 or beginning 2007, I hope that Mr. Walid is not such an older man and could wait till my visit. Otherwise, of course, I'm ready to meet him (and you, and your family) in Paris anytime, if you tell me few weeks before.
When will you publish your book ?
Here too are reigning rain anc cold and a pale sun, but I'm like you, I write and write, and prepare ... the Second Euroepan Festival of Latin and Greek, and even the Third, with an Hungarian partnership (Karolyi Foundation). If also I can find an Amerianc Partner, I could come to the States. Let's see,
Friendly yours,
Elizabeth
You are hilarious--``marrying you off''! Although Jewish tradition says that if you introduce two people who eventually get married to one another, you win major ``good karma'' points in life, and I am always eager to find ways to keep the karmic balance of life in my favor!
I think you will enjoy meeting him--he is charming, smart, and a wonderful talker. He lived for many, many years in Beirut so he also probably speaks wonderful French. (Unlike yours truly, who learned French in an American school, not Beirut.)
I have invited him to have coffee with me in the coming weeks, and I will see about his plans for the fall. I am planning a trip to Israel, so maybe I can convince him to come to Paris and we can all meet there. We shall see, and I promise to keep you posted.
When and if you do come to the United States, you MUST let me know so we can finally meet in person someday.
My book is due at the end of this year, but I do not know when haut de pageit will be published. Probably a year to 18 months later, I assume, although I guess a lot will depend on whether I need to rewrite parts of it or not.

Silvano Villani (journaliste, écrivain italien)
Gentille Madame Élisabeth,
On a trouvé parmi le messages e-mail de notre ami Silvano les vôtres. Silvano ne vous pas répondu parce que il est parti il y a des semaines. En nous quittant il nous a dit de vous souhaiter une heureuse Nouvelle Année, de bonnes Paques, une longue, satisfaisante permanence de cet coté du monde, et de "ne pas oublier Persepolis " (?).
Avec nos meilleures voeux, Mario et autres
.

Dominique Poitelon (libraire d'ouvrages anciens rue Blomet à Paris)
----- Original Message -----
From: "poitelon" <poitelon@noos.fr>
To: <contact@antebiel.com>
Sent: Saturday, June 11, 2005 6:17 PM
Subject: Abellio
Madame et Chère Elisabeth Antébi,
Plusieurs fois que je suis venue voir votre remarquable site.
Dans "le journal d'Aspasie" l'évocation d'Abellio m'invite à (brièvement) me manifester.
Ses romans ont beaucoup compté pour moi, qui suis très peu lectrice de romans... bien que libraire d'ancien depuis une dizaine d'années (rue Blomet pas loin de la clinique).
Serez-vous à Bécherel la dernière semaine de juillet ?
La fin de la pauvre Carmen Tessier n'est certes pas à envier...
Bien cordialement.
Dominique (madame) Poitelon
Merci chère Madame Poitelon de "me" visiter de temps en temps, et d'aimer bien.
Oui, j'ai retrouvé récemment la dédicace d'Abellio ...Comment marche votre librairie ?
Ici, à Bécherel, le livre ancien continue à vivre mais il se soutient par une politique culturelle tout autour.
Je ne suis pas tout à fait sûre d'être là précisément la dernière semaine de juillet - si une de mes amies qui vient de New York passe à Paris. Mais dites-moi vos dates, je tenterai d'y être. Sinon, mon Dieu, à Paris, rue Blomet.
Comment a fini Carmen Tessier, je crois que je ne l'ai jamais su ?
Très cordialement,
Elizabeth Antébi
Merci de votre mail quasi immédiat !
La pauvre Carmen Tessier s'était jetée par la fenêtre... et la fin de votre phrase l'évoquant m'avait fait penser que vous le saviez. (votre site est si foisonnant et riche que je n'arrive pas à l'instant à retomber dessus pour la vérifier)
Ma petite librairie rue Blomet (en face du relieur Alain Pierre, qui lui-même a son atelier juste devant le premier atelier de Gauguin, qui vécut là - il entrait rue Carcel - avec femme et enfants du temps où il était encore à la Bourse et commençait de peindre) est assez rarement ouverte (peut-être davantage à la rentrée) car j'étais un peu trop prisonnière des gens qui venaient me raconter leur vie : je travaille sur Internet (livre-rare-book et abebooks) et sur commande.
J'ai été frappée par votre passage à LCI (chaîne qui m'est indispensable) dans l'émission de Valérie Expert, et c'est ce qui m'a amenée à vous chercher sur le web, ce qui m'a fait arriver rapidement sur votre site.
Je ne suis pas sûre moi non plus de pouvoir passer à Bécherel fin juillet (je serai à Perros-Guirec pour une courte semaine).
Le hasard ou ce qu'on nomme ainsi nous fera peut-être nous rencontrer (il me joue souvent des tours en forme de coïncidence, ce qui agace un pehaut de pageu mon mari, très sérieux physicien...) bien cordialement.
dp
Carmen Tessier est citée dans le dossier de presse de "Ave Lucifer". Je l'ai
moi-même retrouvée par le moteur de recherche interne (les jumelles à droite dans la barre du haut).
J'aime bien aussi LCI et je parle de Valerie Expert (que je vais bientôt interwiever) dans "Aspasie" :
Pour le hasard ... il se trouve que je suis née à la clinique Blomet, eh oui, non loin de chez vous ...
M'autorisez-vous à reproduire tout ou partie de notre conversation virtuelle dans ASPASIE et à mettre votre adresse mail si les gens veulent vous demander un ouvrage ancien ?
Bien à vous et à très bientôt,
Elizabeth
J'avais bien sûr vu que vous êtes née à la Clinique Blomet !
Cela m'avait frappée d'emblée en regardant votre site (c'est pourquoi
j'y faisais allusion dans mon premier mail)
Juste en face de la clinique habite un de mes clients et amis, le journaliste et écrivain Yves Josso, dans un hôtel particulier (avec petit jardin et chats...) qui appartint à son père, le peintre et illustrateur Xavier Josso (une exposition des oeuvres de celui-ci fut organisée à Pont-Aven fin 2003 et de beaux petits volumes à lui consacrés sont récemment parus aux éditions Equinoxe). L'auriez-vous déjà croisé ?
De mon côté je vous "suis" de loin en loin depuis la parution d'"Ave Lucifer" et vos premières apparitions aux côtés de Michel Polac (je suis née quant à moi le 10 février 1950 ... hélas !).
Bien à vous.
dp
Voilà j'ai mis en ligne nos mails et les liens. Si vous voulez suprimer quoi que ce soit dites-le moi, je le ferai tout de suite. Mais j'aime bien le côté "yau d'poele" ou "cadavre exquis" du web.
Je ne connaissais pas Xavier Josso, mais je l'ai trouvé et j'ai mis un lien. J'ai trouvé les livres mais ... à la Fnac alors pourquoi mettre la Fnac en ligne ? Et pourquoi pas ? Nous verrons. En tout cas, vous êtes une jeunette: je vais fêter mes "20 ans 3 fois plutôt qu'une" à Bécherel en juillet prochain, brrrr!
Il est sympathique de savoir que l'on était accompagnée de loin, décidément nous devrions nous rencontrer avait les 70 (ans).
Meilleures pensées,
Elizabeth
Bien évidemment nous aurons l'occasion de nous rencontrer.
Cette rue Blomet, qui comme une petite rivière s'incurve pour se jeter dans la rue Lecourbe, est pleine de ressources passées (il y eut un "groupe de la rue Blomet" entre les deux guerres, dont fit partie Michel Leiris) et sans doute aussi futures.
Encore bravo pour le ton, le charme et l'inventivité de votre site.
A très bientôt.
dp

TOPOR
Bonjour,
le hazard, magie de l'internet !- m'a déposé sur votre site, que j'ai beaucoup apprécié. J'écris (et achève) en ce moment la biographie de l'ami Roland. Si vous désirez jettez un coup d'oeil sur le blog que j'ai bricolé à cette occasion... Vous retrouverez, via les liens, la voix de Roland. Bien à vous. Frantz Vaillant


PAOLO SOLERI
Bonjour, Je suis-je viens de l'ethnologie urbaine (par ma formation universitaire et mon expérience professionnelle) et je suis-je vais vers l'écriture de reportages (désir, auto-apprentissage) (j'ai 28 ans); alors, le sujet sur lequel je travaille aujourd'hui touche à l'urbanisme, et ce qui me préoccupe particulièrement est Le recul des espaces naturels. Je vis dans le sud, dans la Montagne noire. J'ai découvert votre travail en faisant des recherches sur Paolo SOLERI j'en viens à l'objet de mon courrier; (au passage, j'ai pris plaisir à lire vos articles et j'ai été impressionnée par leur qualité documentaire (fouillés, vraiment); la lecture de vous est de ce rare journalisme qui étanche assez bien la soif que l'on peut avoir d'en savoir); La richesse des recherches et des réalisations de Paolo Soleri, son graphisme également, me nourrissent beaucoup dans mon travail actuel sur la ville, je suis avide d'en savoir plus, et de peut être aller visiter Arcosanti. En attendant, je souhaiterai vraiment regarder le reportage que vous avez réalisé sur lui; pourriez vous m'aidez à me le procurer? (une adresse à laquelle je pourrais le commander, un lieu où consulter des archives TV, une copie disponible...?) J'espère une réponse de vous, Marjorie Portrait

HENRI DE MAUDUIT
Hello,
I have French friends who have been reconstructing Bourblanc, near Paimpol in Brittany where Comtesse Betty de Maudit or Mauduit lived and hid downed airmen during WWII. These friends are extremely interested in any information related to the Comtesse and Bourblanc. I read one small piece about her in http://www.rafinfo.org.uk/rafescape/guerisse.htm and about her husband in http://www.antebiel.com/EN/curriculum/genealogy/curriculum-father.html, but hope to find out more. If you have any information or can point me in the right direction, I would appreciate it. My friends personally know at least one person who lived at Bourblanc when Betty was arrested by the Germans. However, any published documentation has been hard to fine (at least by me). Hoping you can help.
Thank you very much,
Angela Martin
Houston, Texas

Henri de Mauduit était né en 1897.
Sa grand-mère était née Marie Tillette de Clermont-Tonnerre, dans la Sarthe en août 1846, elle mourut en février 1905 au château de Kerbertrand près de Quimperlé.
En effet, elle avait épousé le grand-père de Henri de Mauduit, Henri-Joseph-Marie de Mauduit, né le 21 octobre 1837 à Quimperlé, fils de Joseph-Gabriel de Mauduit de Kervern, né le IV frimaire an VI, capitaine d’Infanterie décédé le 28 août 1873 à Kerbertrand, et de demoiselle Virginie-Marie Cabon de Kerandraon, décédée en 1868, fille d’Eugène et de Nicole Testard du Cosquer. Volontaire aux Tirailleurs franco-belges à Rome, lieutenant aux Zouaves Pontificaux, combattant sous Charette et Lamoricière à Mentana et Castelfidardo ; capitaine des Mobiles bretons du Finistère en 1870, il fut envoyé à Paris où il libéra l’Hôtel de Ville des Communards « en passant par un soupirail avec ses gars » et repris la place dans de furieux corps à corps, ce qui lui valut la Croix des mains de Gambetta. Henri de Mauduit avait repris la manufacture de papier à cigarettes créée par son père … et qui devint le premier maillon de la fortune de Vincent Bolloré.
Le couple avait un fils, Robert (1867-1911) qui avait épousé Jeanne du Bourblanc, née au château du Bourblanc, à Plourivo en Goëllo, non loin de Paimpol.

Leur fils aîné, Henri, naquit au château. Le comte Henry de Mauduit (1897/1974) avait été gouverneur du Tchad. Il fut recueilli par Mountbatten en janvier 1941 sur son navire le Kelly, alors qu'il tentait de rejoindre les Forces Françaises Libres à Londres à bord d'une barque de pêche depuis Paimpol. Il avait épousé Roberta, dite Betty Laurie, déportée à Ravensbruck, décédée en juillet 1975, un an après son époux. Ils n’eurent pas d’enfant. Mais il y eut trois nièces, Françoise de Mauduit, Margaret Fersata et Catherine Herring et un neveu, John Herring.

« Par le trou de la souris », signé G-ROM
(à venir)

AVIS DE RECHERCHE : Ronald Searle, un film se tourne sur lui à la télévision en Ecosse

Recherche pour JEAN BENEDETTI qui fut préfet de Paris dans les années 1950.
Je m'appelle Hervé Duval et j'habite à côté de Rennes. Depuis le décès de mon père et de mes grands parents, j'essaye de reconstituer leurs vies. Mes grands parents ont bien connu Jean Benedetti préfet de Paris, j'ai vu sur votre site que votre père aussi. Auriez-vous quelques informations me permettant de reconstituer sa carrière et recouper celle ci avec les quelques données dont je dispose. Peut-être avez-vous même une photo de lui. Hervé Duval
Pour Jean Bénédetti, je sais évidemment qu'il était Corse et que, par les Corses, on doit pouvoir retrouver pas mal d'éléments. Il avait une très belle femme, Odette, morte tragiquement d'un cancer de la peau. A vrai dire, j'étais bien jeune quand ils se racontaient leur saga, ils s'étaient connus jeunes et mon père avait le béguin pour Odette. J'ai peut-être une photo chez moi au fond des boîtes, je vais chercher.
Si votre père avait le béguin pour Odette, je crois d'après les bribes de conversations que j'ai entendu enfant, que Jean Benedetti avait lui le béguin pour ma grand-mère... mais j'étais jeune et je ne me souviens pas très bien. Mes grands parents ont du connaitre Jean Benedetti dans les années 1935/1940. Merci encore de vos recherches et peut-être de la photo.
Dans mon Site "Ma Vie est un Roman", je parlais du merveilleux cartoonist Ronald Searle. Or un film se tourne sur lui et son auteur cherche un(e) Français(e) - journalistes ou artistes - qui saurait témoigner des "années françaises" de Ronald. Mes témoins de prédilection, dont l'ami Topor, sont hélas défunts. APPEL : QUI POURRAIT PARLER DE RONALD SEARLE pour la TV ? Répondre soit en cliquant ici, soit directement à cette dame :
Chère Elizabeth
I do hope you don't mind me contacting you in this way. I am making a television documentary for BBC4 in the UK about Ronald Searle & am looking for some advice on who might be a good person to interview on the subject from a French perspective. I came upon your wonderful website as I was doing my research & I see that you met Searle at one time. If you have any good suggestions of French commentators / artists / academics who speak English & could talk about the way in which Searle has been embraced by France & the French over the years, I would be most grateful.
Je vous remercie d'avance pour votre aide.
Sarah Howitt
Lion Television Scotland
14 Royal Crescent
Glasgow, G3 7SL
T: 0141 331 5424 (Direct Line)
F: 0141 331 0451
E: sarah.howitt@liontv.co.uk
Autre appel et recherche d'info à propos, cette fois, du romancier de rom-pol's JAMES HADLEY CHASE :
Sent: Friday, June 17, 2005 1:51 AM
Subject: RE: James Hadley Chase
I came across your webpage while doing a search on James Hadley Chase. As you are aware, there is very little information available on him. I have read many of his books and am interested to know more about him. Would you know how I could read the interview you did with him that you refer to in your website? Of course, any other ideas on some material to read about him would also be very appreciated.
Thank you,
Brian
Brian Thiemann
Sr. Consultant
MRA Physician Placement
"A Cross Country Healthcare Company"
Phone: (866) 813-0567
Fax: (314) 236-4408
Email: bthiemann@mraphysician.com
Website: www.mraphysician.com

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Bientôt la relation de tous les gens que j'ai pu rencontrer après le Festival Européen de Latin/Grec. ENTHOUSIASMANT !

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