CURRICULUM (S)




Ce « survol » est divisé en dates, et les titres marquent surtout
les modulations de carrière et les nouvelles orientations.



1945
Enfance et adolescence
Née le 13 juillet 1945 à 19h 15, à Paris, clinique Blomet, je suis Cancer ascendant Sagittaire, Lune en Vierge (et Coq Chinois).
Mlle Hilairin, institutrice à l’ancienne, m’a appris à lire et à écrire à quatre ans et offert mon premier livre sur les animaux de l’Arche de Noé. Puis je suis entrée à l’âge de 6 ans (en classe de 9ème) au lycée Molière, lycée « branché » de l’époque, où j’ai eu pour professeurs toutes les égéries de l’existentialisme – de Camus à Sartre, en passant par Merleau-Ponty. J’y suis restée jusqu’à ma deuxième année de khâgne, au début des années 60 – je n’ai jamais voulu me présenter au concours d’admission à Normale Supérieure. En 1963, je publie un recueil de poèmes, les Barreaux Surannés. En 1964, je fais de l’espagnol pendant les vacances d’été et habite au couvent de la Sagrada Familia, Barrio San Augustin, Palma de Mallorca.



1964
Licences et diplômes
En 1964, après avoir suivi à la Sorbonne les cours de Jacqueline de Romilly pour le grec, d’Etiemble pour les littératures comparées, j’obtenais ma licence ès Lettres, et, en 1965, la licence d’histoire de l’Art et un certificat d’histoire du théâtre. Je m’étais inscrite aux cours Dullin ; recrutée par un metteur en scène de passage, je me suis retrouvée sur une scène de Saint-Brieuc, en train de jouer Angélique de Georges Dandin (Molière) au TPB, Théâtre Populaire de Bretagne, fondé sous les auspices de l’auteur du Sang Noir, Louis Guilloux. Sur les murs étaient placardés des articles d’Aragon dans les Lettres françaises et dans ce climat pré-68 et « compagnons de route », je ne me sentais pas fort à l’aise …

Pour les vacances d’août 1965, je pars pour Israël, et travaille dans les kibboutz car c’est le seul moyen de voyager partout en auto-stop et sans argent. Je garde un souvenir curieux de cette terre que je découvre, deux ans avant la guerre des Six Jours.

En 1967, après avoir passé janvier à Grafrath, dans la région de Münich, dont je sors avec un diplôme de langue allemande du Goethe Institut, j’envoie un manuscrit de roman policier que je venais d’écrire à Boileau-Narcejac et Pierre Boileau (j’apprends alors qu’il s’agissait de deux auteurs) me reçoit dans son appartement de Pigalle.



1967
Journaliste de presse écrite

P.Boileau me recommande au directeur du service littéraire de L’Express, Jean-Louis Ferrier, Suisse de Neuchâtel. Je me voyais déjà journaliste, j’y suis secrétaire – la voie de garage assurée dans le système très codé des préséances giroulduciennes.

Le patron de France-Soir, Lazareff, accepte pourtant mon idée d’une série sur les auteurs de romans policiers (ma passion de l’époque), et j’interviewe James Hadley Chase, mon voisin dans le XVIe arrondissement de Paris, Patricia Highsmith, qui habite à la campagne et ne me parle que d’escargots, Simonin, Le Breton, et quelques autres. Je collabore au Magazine Littéraire de Jean-Jacques Brochier et au magazine Lui que dirige le charmant Jean Demachy, assisté du non moins délicieux Jean-Pierre Benché. Là, je commence enfin à voyager tous frais payés et à enquêter. Et personne ne censure.

Un jour, en sortant de l’immeuble des Champs Elysées où sont les bureaux de Lui, je rencontre un grand journaliste de l’Express, Georges Chaffard, que je connais peu mais qui m'est éminemment sympathique, avec ses yeux à favoriser les confidences et à prodiguer les consolations. Je lui montre toute joyeuse l'article que je viens de publier, sur le règne de Lucifer dont l’étoile se profile sur l’Occident. Et voilà qu'il me fait la proposition d'écrire un livre dans la collection que Calmann-Lévy (où il vient de publier Les Carnets secrets de la décolonisation) lui demande de diriger. Il ne verra pas le livre publié : au petit matin, sur la route, entre France et Portugal, sa voiture se fracasse sur une autre, dont le conducteur s’est endormi au volant. J’apprendrai peu après qu’il s’agissait … d’un vieil ami de mon père, qui a eu un malaise.




1970
Livres et Télévision

Mon premier livre, Ave Lucifer, est dédicacé à Georges Chaffard. Il sort à l’automne 1970 chez Calmann-Lévy, dont je vois souvent le directeur, l’affable Robert Calmann-Lévy, le dernier de la dynastie, puisqu’il ne laissera dans la maison qu’un neveu, Alain Oulman (1929-1990), compositeur de chants sur des poèmes pour la chanteuse portugaise Amalia Rodrigues, expulsé par la police salazariste pour ses sympathies gauchistes. Roland Topor a accepté d’en dessiner la couverture. Le livre est publié par la suite en version espagnole et en collection de poche « J’ai Lu » par Jacques Sadoul, un fan des auteurs de science-fiction, que je croise à plusieurs reprises par la suite.

Interviewée par Michel Polac dans son émission littéraire Post-Scriptum, l’assistante de Polac, Gitta Pessis, me fait engager, fin 1970, pour présenter avec lui l’émission. Il n’aime que les blondes et muettes, je suis bavarde et brune ! Victime d’une crise cardiaque, Polac est contraint de me laisser les rênes et, chaque semaine, une « grande pointure » vient aider la nouvelle venue : l’émission est en direct. Avec Lalou, Bory, Treguer et d’autres, je ne m’en tire pas trop mal. Mais, dès son retour, Polac règle ses comptes et désavoue l’équipe en direct. Je m’effondre en larmes dans le mouchoir de Jean Fourastié, économiste et mon voisin. Polac m’aperçoit et me jette un « - Enfin humaine ! » qui coupe court à ma désolation.

Je poursuis mes reportages pour le Magazine Littéraire, Lui et et même depuis que j’en suis sortie l'Express sur Buckminster Fuller, Ronald Laing, Fernando Arrabal, Roland Topor, Pierre Schaeffer, Stéphane Lupasco, le groupe de dialogues entre scientifiques Est-Ouest Pugwash, le diable en Occident, la noblesse italienne, l'intelligence artificielle, la science-fiction

En 1971, France-Culture m’envoie « couvrir » les fêtes pour les deux millième anniversaire de l’Empire Perse organisées par le Shah d'Iran : je rencontre une brochette de journalistes, dont Léon Zitrone, Toni Savignano, Clara Falcone, Djavad Alamir prince Dawallou (Khadjar) et correspondant du Monde, le Premier Ministre Hoveyda.

Pierre Schaeffer, rencontré alors que l’interviewais sur Gurdjieff pour mon livre, m’engage au Service de la Recherche à l’ORTF , enclave de liberté, de créativité, de rencontres, dont le démantèlement a sonné le glas d’une télévision d’exigence. J’y réalise en 1972 Les Evadés du Futur, film TV sur la science-fiction, avec Isaac Asimov, Ted Sturgeon, John Brunner, Norman Spinrad, et l’une des rares interviews de Philip Dick, dans les univers mythologiques des décors de la Fox et de Dysneyland : il en écrira un très beau texte.

A Stockholm a lieu le premier congrès international sur la pollution (où l’on voit défiler la cohorte tragique des pêcheurs de Minamata, empoisonnés au mercure), je le filme pour les Banques Populaires, mandatée par Maurice Dalinval de Publicis, qui m’a souvent confié la rédaction d’articles publicitaires.

Et, l’année suivante, en 1973, alors que je publie parallèlement et sous un faux nom (Eric Aggur) les douze livres du Zodiaque chez Bordas, je tourne pour l’émission « Un certain regard » dirigée par Mme Adler, Alan Watts, un philosophe boudhiste. C’est au Service de la Recherche que je travaille pour la première fois avec celui qui se manifestera à plusieurs reprises dans ma vie comme l’Ange Gardien, l’informaticien-programmeur-guitariste William Skyvington. Je vois aussi la « petite marquise » pleine d’esprit Manette Bertin, et croise le dessinateur Peter Foldès, le merveilleux cinéaste Ivo Malec, et l’écrivain François Weyergans ou le réalisateur Benoît Jacquot.

Je me suis attelée à un nouvel ouvrage, une satire de la Cinquième République, Les Filles de Madame Claude, qui paraît en 1974 chez Stock-Julliard, puis en Livre de Poche, en édition club France-Loisir, sans parler d’une version italienne dont la couverture est de toute beauté.
J’ai pour co-auteur un professeur de la très sérieuse école Sainte-Croix de Neuilly, Anne de Boismilon, qui a eu la prudence de prendre un pseudonyme mais dont la photo s’étale en quatrième page de couverture ! Je connais Anne grâce au journaliste de l’Express Frédéric de Towarnicki devenu un grand ami. Nous avons travaillé pendant plusieurs années ensemble, nous aimant comme des sœurs.

La même année 1974, je suis allée tourner aux Etats-Unis La mort de Life et du grand reportage, pour France 3. Désireuse de voyager, je me suis présentée à l’émission de grand reportage ; Steve Walsh, associé au producteur de l’émission le grand-reporter Jean-François Chauvel qui est absent, a accepté mon idée d’un film sur la mort du temps où le grand reportage était une aventure extraordinaire, avec ses pionniers et ses têtes brûlées. A Washington, je fais la connaissance de la correspondante de l’Express, une agrégée de français qui va déménager à Boston pour enseigner au MIT, un autre des anges gardiens de ma vie, Gilberte Furstenberg.

L’année suivante, en 1975 je réalise mon premier reportage sur les Jésuites, Le Concile noir, pour France 3. Et je publie avec Anne de Boismilon Les Filles de Madame Claude.

En 1976 j’assiste à un congrès international à Cracovie, chargé de préparer les accords de Belgrade entre Est et Ouest. J’y connais Klaus von Bismarck et Ivo Lederer, qui représente la fondation Ford, organisatrice de la réunion.

En 1977, je publie Droit d'asiles en Union Soviétique chez Julliard (+ 1 version italienne), préface de Ionesco, couverture de Tim.
Du 1er juillet 1977-31 janvier 1978, j’entre comme journaliste à VSD où je travaille avec Jean Gorini et deviens l’amie d’Elizabeth Fechner. Par Michel Clerc (Paris-Match, RTL) je fais la connaissance de Henri Abdel Jalil, « homme » des émirats, en particulier du Quatar.

En 1978 : je me retrouve aux Antilles, comme maître d’œuvre et rédactrice en chef de l’Encyclopédie en huit volumes sur les Antilles et la Guyane, « Arawak » (Tchou, 1978). J’y connais plusieurs personnages de mon folklore personnel, la belle Katleen Wallerand , Aubelin Jolicoeur, la Princesse, et une photographe remarquable du Vaudou, Chantoutou (Chantal Regnault). Au retour, en juillet, je collabore avec l’agence de conseil en communication Copexen, où je contribue à la création du journal d’entreprise Siemenscope.




1981
Editeur de Beaux-Livres, Sciences, techniques et industrie.
En 1981 , je fonde, avec le PDG de Copexen, les Editions Hologramme consacrées au Beau Livre. Je dirige la collection Chemins (du mot de Heidegger sur « les chemins qui ne mènent nulle part) consacrée à la vulgarisation des sciences et des techniques, et y publie le premier livre illustré de centaines de photos couleur, format encyclopédie, La Grande Epopée de l'Electronique (publié aux USA, en Angleterre, en Allemagne).

1983 : J’écris Biotechnologies, le Génie de la Vie (versions anglaise hollandaise et japonaise) et rédige des articles dans Usine nouvelle.

1985 Je dirige les Enigmes du cerveau paru aux éditions Bordas et aux Etats-Unis, et travaille avec Jacques Le Goff sur une collection en huit volumes l'Imaginaire européen, avec la collaboration d’auteurs aussi prestigieux que Umberto Eco, Hélène Ahrweiler, Lescek Kolakowski, David Landes. Le montage international de cette collection, à un stade pourtant très avancé, ne pourra se faire, en particulier à la suite d’une rupture avec mon associé aux éditions Hologramme, qui conduit à la séparation.

En 1988, à Maastricht je rencontre les rédacteurs scientifiques Bernard Dixon et Nigel Calder, éditeur en chef du New Scientist, ainsi que le Prince Klaus, mari de la reine et préfacier de mon livre sur les biotechs.
Ma fille Charlotte naît le 6 juillet.

En 1989, je fonde la maison d'édition Antébi et publie Le Bébé avant sa naissance, réalisé avec le Dr Kutner en échographies-couleur et Les Habits du Pouvoir : la Justice, avec, pour auteur, l’avocat Jacques Boedels et pour préfacier Jean-Denis Bredin. Cet ouvrage est couronné par le « Prix du Palais Littéraire et Musical ». Le directeur artistique, hérité des Editions Hologramme, en est Tillmann Eichhorn.

En 1990 : Co-auteur (avec François Lebrun) de Les Jésuites ou la Gloire de Dieu (co-édition Antébi-Stock). Articles dans Notre Histoire.


1996
Histoire de la Palestine Ottomane : Doctorat. Multimédia.

En 1996, après quatre années de recherches dans les archives françaises et étrangères, je publie L'Homme du Sérail aux éditions NiL de Nicole Lattès. Parallèlement je passe le Diplôme de l’EPHE (équivalence de DEA) sur Albert Antébi (1873-1919) ou la Religion de la France, sous la direction de Gérard Nahon, avec pour laudatifs re-lecteurs Henry Laurens, Jacques Le Goff et Jean Baubérot. Au cours de l’enquête, je rencontre ma cousine (de 20 ans plus jeune) et chercheuse qui devient une amie, Lisa Antéby, spécialiste de l’Ethiopie.
A la même époque, je suis à Montreuil des cours d’apprentissages de logiciels pour devenir chef de projet multimédia. Mon professeur qui devient un ami est un développeur (et être humain) remarquable, Jérôme Caillot. Je maîtrise donc plus ou moins bien les logiciels Photoshop, Première, Director, Flash, SoundEdit, GoLive, FrontPage, DreamWeaver, Word ; notions de Flash et de lingo ; HTML et XML.
Conception et réalisation du site sur Pierre Schaeffer

1998-1999 : je collabore avec Claude Lepage directeur-fondateur du Laboratoire des Technologies Nouvelles à l’Ecole Pratique des Hautes Etudes, à la Sorbonne, à la conception graphique du site internet de l’EPHE. C’est au labo que je commence une maquette CD-ROM sur les Jésuites.

OCTOBRE 1999 : présentation à Rome, devant les 300 directeurs de collèges d'Europe et représentants de l'éducation dans la Compagnie de Jésus, du CD-ROM sur la pédagogie des collèges d'Europe (Les jésuites transmettent leurs secrets aux laïcs/Roots for tomorrow/Jesuitas y laicos):

"J'ai trouvé cette dernière version fascinante. Je vous félicite de cette production si bien réussie", écrivit le secrétaire général de l'éducation jésuite à Rome, le Père Gabriel Codina, s.j. "I must congratulate you on a very fine and imaginative piece of work with tremendous possibility for the future", écrivit le rév. Alan Harrison, s.j., délégué au Jesuit Education Office à Londres.
Le même mois, je publie Les Missionnaires Juifs de la France, chez Calmann-Lévy, avec un chapitre consacré à ma grand-mère, Henriette.

En juillet, j’ai obtenu à la Sorbonne (EPHE, salle Marcel Mauss) mon doctorat d’histoire des sciences religieuses et systèmes de pensées sur Edmond de Rothschild (1845-1934), sous la direction de Gérard Nahon. Félicitations du jury (Henry Laurens de l’Inalco, David Landes de Harvard, François Georgeon de l’EHESS et le Président de l’EPHE, Jean Baubérot) à l’unanimité. Je rencontre l’arrière-petit fils du baron Edmond, Benjamin, puis sa mère la baronne Nadine.

NOVEMBRE 2001, conception et réalisation technique d'un site internet, Le Séminaire ininterrompu du professeur Gérard Nahon : http://www.antebiel.com/nahon

2001 : je fais partie d'un groupe de recherches sur les Usages du passé, réuni tous les six mois sous la direction et à l'initiative de Jean-Marc Chouraqui, directeur de l'I.E.C.J., Université d'Aix-Marseille.
A la demande de l’éditeur Zulma, pour une collection sur les prénoms, j’écris Salomé.

Fin 2002 : Je travaille quelques mois à une revue de presse on-line pour Keypress et rédige des encadrés destinés au Dictionnaire Historique de la Langue Française (Robert)


2003, 2004, 2005, 2006, 2007, 2008

J’ai entrepris, sur le schéma d’une collection envisagée au sein des éditions Antébi et T. Eichhorn avait fait la maquette, un CD-ROM interactif, France : Chemins du judaïsme. Une encyclopédie à travers l'espace et le temps. /Jewish Journeys in France, dont je suis la directrice de projet et la directrice artistique. Par suite d’un différend avec l’éditeur, ce CD-ROM n’est pas encore disponible.

Janvier 2003 : Les éditions du Rocher publient ma thèse, réécrite pour un public un peu plus large, sous le titre Edmond de Rothschild. L'Homme qui racheta la Terre Sainte. Je fais la connaissance de l’un des rares éditeurs libres restant sur la place de Paris, Jean-Paul Bertrand.

Août 2003 : Début de la conception et de la réalisation du site web "Ma Vie est un Roman" (celui où nous sommes).
Préparation d'une revue on-line : "le grain de sel d'Aspasie"

2004 : Participation à une exposition ("39/45 Ces Inventions qui ont changé le Monde") à Caen, du 28 mai au 30 octobre, au Musée de Normandie. Installation à Bécherel, "cité du livre" en Bretagne, en tant que directrice du "CyberEspace des Cultures de l'Europe". Désormais mise en ligne des dernières nouvelles dans le magazine en-ligne "Aspasie", à la page "Sur le Feu". Réalisation d'un site internet pour un homme d'affaires belge.

2005 : Création et Lancement du premier Festival Européen de Latin et de Grec avec Jacques Lacarrière et l'aide de Jacqueline de Romilly.  Parution de trois articles ("biologie", "poupée", jeunes, jeunesse") dans Le Dictionnaire Culturel en Langue française d'Alain Rey (Le Robert).

2006 : en mars, deuxième Festival Européen de Latin et de Grec, sur le thème "L'Amour, la Musique et la Danse", avec partenariats de la Hongrie (Fondation Karolyi, Institut Hongrois), du Portugal (Fondation Gulbenkian), de la Finlande (service culturel, ambassade de Finlande). Interviewée par Canal Académie, radio sur Internet de l'Institut, collabore désormais pour plusieurs émissions, dont "Rayon Gamma, Facteur Epsilonn" avec interview d'Académiciens des Sciences sur les Humanités. Collabore aussi à plusieurs reprises à l'émission "Coup de Coeur des Libraires" de Valérie Expert sur LCI.  Les 14 et 15 octobre organise une journée Science-Fiction/Fiction des Sciences à Bécherel avec projection de son film "les Evadés du Futur" avec Philip K. Dick et Isaac Asimov.
Article "Sylvain Lévi (1863-1935) : le rêve d'un judaïsme "sans temple ... sans prêtres" : l'occultation de l'héritage laïc en Israël" - conférence donnée lors d'un colloque (2003) - vient de paraître dans un ouvrage collectif publié sous la direction de jean-Marc Chouraqui, Gilles Dorival et Colette Zytnicki, chez Maisonneuve et Larose/Maison méditerranéenne des sciences de l'homme.
Et création du site fortunajuvat.

2007 : Organise la 3e édition du Festival Européen Latin Grec à Nantes (11-13 mai), avec une « mise en bouche » en Hongrie du 28 avril au 1er mai (partenariat avec la Fondation Karolyi) , puis la 4e edition sur le thème « L’Exploration du Monde : Tourisme, Guerre et Science ». Conférence sur « Séverine, une femme libre », à la librairie Porte St-Michel (Bécherel) et à l’UTL de Rennes, comme Docteur d’Histoire des sciences religieuses, sur le thème : « De l'assimilation à l'intégration: les défis posés à l'Etat laïc ». Emissions sur Canal Académie, radio sur Internet de l’Institut (interviews Michel Déon, Jean Dutourd, René de Obaldia, Xavier Darcos, et bien d’autres ).

2008 : Le Festival Européen Latin Grec déménage à Nantes. Partenariat avec l'Université de Coimbra. Pourquite des émissions sur Canal Académie : "Rayon Gamma, Facteur Epsilon" et autre création, d'une émission littéraire intitulée "Au Plaisr d'Insolence". Conférences dans diverses villes, Poitiers, Chaumont, etc. sous la bannière des Humanités Classiques.


Parution prévue :
"Camaïeu de ma Jeunesse"
("A French Mad Hatter"/ "Eine Nuancierte Spiel Über Meine Jugend").
Ou comment se trouver dans les situations les plus insolites sans vraiment savoir comment on a pu s'y fourrer ...


DVD-ROM à l’étude : Le Patrimoine invisible, et Méditerranée, Mémoire ou Mythe?


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