VEUILLEZ M'ENVOYER UN BULLETIN D'INSCRIPTION
FERIAE EUROPAEAE LATINAE ET GRAECAE (FELG)
De similiter festivo conventu Europaeo Graeco-Latino, qui in Francogallia (in urbicula Becherel in Armorica sita) Elizabetha Antebi auctrice habitus erat diebus IV-V-V mensis Martii anni MMV, in fasciculo 65 nostro libenter rettuleramus.
Iam ego etiam libentius nuntiare possumus tales Ferias iterum for anno MMVI: Nam Elizabetha Antebi, indefessa humani cultus defenstrix, eas diligenter parat: Etsi singula nondum definita sunt, iam tamen praecipua vobis adumbrare possumus:.
DEMODOCOS
La compagnie Démodocos, dirigée par Philippe Brunet, crée depuis 1995 des spectacles antiques bilingues. A partir de ses recherches sur la prononciation restituée du grec ancien et du latin, Ph. Brunet a développé une activité théâtrale fondée sur le rythme et la « profération » de la parole. Même le français est traduit dans une forme propice à la scansion; ainsi, sous la conduite des dieux grecs, un jeu de comédien antique et contemporain à la fois, aimanté par ce rythme trois fois millénaire, peut renaître. La musique n'est pas en reste : outre les trop rares partitions antiques retrouvées, François Cam travaille sur la recréation des tropes grecs et il rend ainsi des mélodies à Homère, Pindare, Eschyle et Sophocle.
Philippe Brunet, né en 1960, professeur à Rouen, traducteur d’Hésiode et d’Homère, de Sappho et de Sophocle, a créé en octobre 1995 l’association de théâtre antique Démodocos -nom du personnage de l’aède dans le Chant VIII de l’Odyssée.
L’Orestie, Les Perses (Jean Rouch a tiré du spectacle Démodocos le film Le Rêve plus fort que la Mort), Catulle, Circé, Orphée, les Grenouilles, Lucrèce ou la poésie de la matière sont quelques-uns des thèmes de Démodocos et de son très inventif « patron ».
Avec Antigone, Philippe Brunet avait donné aussi et c’est au fond sa « marque de fabrique » - une interprétation nouvelle du texte de Sophocle, aboutissement de ses recherches sur la poésie grecque et de sa pratique du théâtre.
Pour lui, « la présence du chant est essentielle au théâtre antique et trouve parfaitement sa place dans une adaptation contemporaine. La langue grecque ancienne est restituée dans sa prononciation archaïque, conjointe à la traduction en français. Le travail des comédiens s’inscrit dans une exaltation particulière : ils doivent jouer plusieurs rôles et sont presque tout le temps sur le plateau. Pour passer d’un personnage à l’autre, ils maîtrisent avec souplesse chacun des rôles et l’ensemble de la pièce. Le travail repose sur de nombreuses improvisations, et sur une approche serrée du texte et de sa prosodie. Le rythme est une donnée essentielle du travail. La forme du parler est rythmée dans le chant mais aussi dans la parole non chantée. Des codes de jeu régissent l’interprétation (chant, langue grecque ancienne ou française, utilisation de masques, expression corporelle, …) et donnent un caractère énergique au spectacle. Composée selon les tropes de la musique grecque antique, la musique de François Cam épouse les rythmes de la langue grecque et innove dans le mode phrygien cher à Sophocle. »
L’an dernier, à la Sorbonne, au moment du printemps des Poètes, n’a-t-on pas lu pendant trois jours d’affilée, comme le rêvait Ronsard, tout le texte de l’Iliade en grec et en français dans la nouvelle traduction de Philippe Brunet, à paraître chez Gallimard ? Ce "marathon homérique" a mobilisé entre autres André Markowicz, Armando Uribe, Elisabeth de Balanda, Annie Bastide-Blazy Philippe Tancelin, Bernard Benech, Fanette Vendeville, Karoline Zaidlin, Eric Premel, Jean-Claude Arnould, Yann Migoubert, Guillaume Boussard, François Cam, Nicolas Lakshmanan, Jean-Pierre Guglielmi, Michel Viel, Caroline Le Pape, Damiane Goudet, Thibaut Weeler, Emmanuel Lascoux, Magali Hubert, Aymeric Münch, Alice Nez, Estelle Meyer, Clément Tockats, Nathalie Guilmard, Gaëtan Pralong, Alexandre Arathoom, les étudiants de Paris IV, les collégiens du collège Montaigne, et les enfants de l'école Chaptal.
Au programme : "Antigone", 13 mars 2006, 20h30, Le Pavillon, 11 place Nationale (M°Nationale ou Bibliothèque François Miterrand) ; réservations impératives au 01 45 26 49 10 - avec Philippe Brunet, François Cam, Rebecca Lefèvre, Estelle Meyer, Yann Migoubert, Karoline Zaidline. Et le 17 et le 20 mars, pour les "Dionysies" (futur site : www.dionysies.org). "Le Retour de l'Age d'or", 7 mars 20h30, 19 mars, 17h (à confirmer) et 21 mars 20h30. Lecture de "l'Iiade" et de l'Oraison funèbre, Sénat 18 mars, 18h (réserv. impérative au même numéro).
Marie-Hélène DELAVAUD-ROUX est née en 1963. Doctorat nouveau régime sous la direction de François Salviat à l'Université de Provence (Recherches sur la danse dans l'Antiquité grecque, VIIe-IVe s. av. J.-C.) en 1991. Maître de conférences en Histoire grecque à l'Université de Bretagne Occidentale
SELECTION DE PUBLICATIONS
1) Les danses armées en Grèce antique, Publications de l'Université de Provence, Aix-en-Provence, 1993.
2) Les danses pacifiques en Grèce antique, Publications de l'Université de Provence, Aix-en-Provence, 1994.
3) Les danses dionysiaques en Grèce antique, Publications de l'Université de Provence, Aix en Provence, 1995.
4) "L'énigme des danseurs barbus aux parasols et les vases des Lénéennes", dans Revue Archéologique , 1995, 2, p. 227-263.
5) "La gestuelle de l'absence dans la tragédie grecque : un exemple extrait d'“Iphigénie à Aulis” d'Euripide", Amadis. L'absence & l'effacement, 3, 1999, p. 283-297. Cet article a été republié dans O LUCNOS, Connaissance Hellénique, N°92, juillet 2002.
6) "Gestuelle du deuil et danses funéraires", (Actes de la Rencontre "Musiques et danses antiques", Université de Nantes, 10 février 1996), Revue Belge de Philologie et d'Histoire, 80, 2002-1, p. 199-220.
7) "Perspectives d'avenir. Une préparation originale au mariage : la “géranos”", Amadis. Perspectives d'avenir, 5, 2003, p. 19-36.
Luísa de NAZARE da SILVA FERREIRA : Spécialiste de la littérature et civilisation grecque à l’Université de Coïmbra et enseignante du Groupe d'Études Classiques à la Faculté de Lettres de l'Université de Coimbra, depuis mars 1996, née le 22 juin 1970 à Alcaide (Fundão, Portugal), Luísa de Nazaré da Silva Ferreira a une licence en Langues et Littératures Classiques et Portugaise (Université de Coimbra, juin 1992); un Diplôme d'Études Approfondies, spécialité Monde Méditerranéen Antique, avec le mémoire Le meurtre d'enfant dans la tragédie grecque. Inventaire et essai d'interprétation des tragédies conservées, sous la direction de M. Bernard Deforge (Université de Caen, juin 1993); une Maîtrise en Études Classiques, avec la thèse Sacrifícios de crianças em Eurípides, préparée sous la direction de Maria Helena da Rocha Pereira (Université de Coimbra, Janvier 1997); un Doctorat en Lettres, spécialité Littérature Grecque, avec la thèse Mobilidade poética na Grécia Antiga. Uma leitura da obra de Simónides, préparée sous la direction de Mme. Maria Helena da Rocha Pereira e M. José Ribeiro Ferreira (Université de Coimbra, novembre 2005).
http://www.uc.pt/eclassicos/entidade/iec/membros.html
Dr. Jukka AMMONDT (Jyväskylä) : Dr. Ammondt nous vient de Finlande. Professeur à l’université, il a commencé parallèlement une nouvelle carrière, celle de chanteur, à l’âge de 50 ans. Né à Tampere, il a passé son enfance au sud-ouest de la Finlande. Dans les années 1960, déjà, il chantait dans des groupes rock et avait pour idole Elvis. Il entre à l’Université de Turku et se consacre à la littérature … et au judo. Il se marie, il a trois enfants, passe une thèse et commence à enseigner le latin à l’Université de Jyväskylä.
En 1993, il sort son premier album, Tango Triste Finnicum les plus beaux tangos finnois chantés en latin. C’est le Dr. Teivas Oksala qui traduit les paroles et, l’année suivante, ils reçoivent une médaille du Pape. En 1995, pour le soixantième anniversaire d’Elvis Presley, Jukka Ammondt sort "The Legend Lives Forever in Latin" (la légende vit pour toujours enlatin). « I Surrender » devient Nune aeternitatis et « It’s Now or Never », Nunc hic aut nunquam. Deux ans plus tard paraît "Rocking in Latin". Toujours plus fort : le 5 juillet 2001, au moment de la 47e Rencontre Internationale de l’Assyrologie, à Helsinki, il sort un album … en Sumérien (avec l’aide du professeur Simo Parmola). Des chansons de rock dans l’un des plus anciens langages jamais parlés ! Avec un nouveau tube, Gilgamesh, inspiré par l’une des premières épopées du monde. « Je voudrais que cet enregistrement en sumérien nous rappelle, à nous autres peuples du Nouveau Millénaire, l’importance de ces anciennes cultures à la base de nos civilisations et de nos vies. »
Elèves de 4e année de latin au « Ciszterci Szent Istvan gimnazium » de Székesfehérvar (Hongrie), mis en scène par Berta Annamaria, leur professeur, qui travaille souvent avec le site archéologique de Gorsium. Avec Gabriella Wasztl Horvath, leur professeur de français.
Mme Berta a fait ses études à la Faculté d’histoire-latin de l'Université de Debrecen (Hongrie) et enseigne dans ce lycée depuis 1985. Encore étudiante, elle a participé aux fouilles de Gorsium, ville romaine près de Székesfehérvár, où, en 2007, sera repris Le Festival Européen Latin/Grec, sur le thème de la famille et de la femme. Elle fait partie de l'Association Pro Gorsio, qui soutient des fouilles archéologiques et la construction d'un parc archéologique, et sert de guide à Gorsium régulièrement. Avec ses élèves, depuis 1987, elle participe aux Floralia, une série de fêtes qui se déroulent à Gorsium tous les printemps. Les élèves y présentent des extraits de la poésie lyrique romaine, et de comédies de Plaute comme Miles Gloriosus, Aulularia, Asinaria. Mme Berta a recu le prix Klébesberg en 2000.
Székesfehérvár fut, pendant des siècles, la capitale de royaume de Hongrie. 35 trois et reines furent couronnés et 16 rois ensevelis dans la cathédrale, détruite pendant la domination turque. Quant au musée-site archéologique de Gorsium, qui a été ouvert en 1962 et fait partie du musée du roi Saint-Etienne, il s’étend à l’emplacement d’un camp romain du 1er siècle ap. J-C sur 150-200 ha. Par la suite, il servit de siège aux concilium provinciae de Pannonie Inférieure. Puis la ville d’Herculia y fut construite au 3ème siècle. Aujourd’hui, il est le siège de nombreuses activités culturelles :
http://www.museum.hu/search/museum_en.asp?ID=335
Jeunes acteurs : Brüll Fanny, Dulics Péter, Dunai Lilla, Sellei Ábel, Füzi Beáta, Sikos Péter, Igari Eszter, Szamosi András, Laki Andrea,Lákics Andrea Petra, Mihályi Melánia, Nervetti Lídia, Szabó Blanka, Teller Rita, Tőke Eszter
PARTENARIAT HONGRIE 2007 : Fondation Karolyi.
DEJA AU PROGRAMME : 3ème Festival Européen de Latin et de Grec Printemps 2007 (en grande partie en Hongrie : Fondation Karolyi) : LA FEMME ET LA FAMILLE . Et, à Bécherel : "Journée Harry Potter et L'Heroic Fantasy : tous les chemins mènent au latin".
- ANASTASSIA POLITI :
Pierre BRULE (Rennes II) : (biographie à venir)
Agathe AMZALLAG
LA MAURACHE (directeur artistique : Julien Skowron) :
Danièle Porte: (biographie à venir).
Autres Auteurs (biographies à venir) : Olivier Germain-Thomas (Le Rocher), Jean-Noël Robert (Les Belles Lettres), Jean Malye (Les Belles Lettres).
CONVIVIUM MUSICUM : Au XVIIème les convivia musica étaient des ensembles composés essentiellement d’amateurs se réunissant pour faire de la musique en commun surtout pour la « délectation » de ses membres.
Dans le même esprit, début 2005, des jeunes chanteurs et musiciens, en voie de professionnalisation, ont constitué le convivium musicum de Rennes avec le soutien de Gabriel ANDRE, leur chef de chœur, qui a su les guider en mettant à leur disposition sa vision personnelle d’un nouvel outil culturel et sa connaissance de la vie musicale avec la volonté de toujours remettre en question les acquis, de prendre des risques, de tisser des liens et de répondre à des attentes nouvelles. Le convivium musicum est ainsi devenu un espace de liberté où la conjugaison des talents est une richesse et répond à l’attente de jeunes musiciens en formation dans les différents cursus du Conservatoire, de l’Université… Gabriel André a commencé à réfléchir à la constitution de l’ensemble vocal et instrumental, le convivium musicum, en juin 2004, en lien avec Michel BOEDEC, conseiller artistique, et cinq jeunes musiciens : « La genèse du convivium s'inscrit dans une réflexion initiale ancienne. Par les différentes fonctions que j'ai exercées depuis que je participe à la vie musicale, j'ai toujours cherché à sortir des idées toute faites, tant dans la structuration d'un outil culturel et pédagogique que dans le choix du répertoire et des mises en oeuvre. » Le but du convivium musicum est de participer au développement du chant choral en s’ouvrant, sans exclusive, à des répertoires et des publics nouveaux.
GABRIEL ANDRE
Né le 1er août 1968, choriste, puis chef de chœurs à Rennes et à Nantes (1975-1991), Gabriel André s’est initié au solfège et à la trompette au CNR de Rennes. Après des études en Musicologie (1990) il a suivi des cours de chant avec Oleg Afonine, puis Lynn Barber. Chef fondateur de la Maîtrise de la cathédrale de Saint-Malo, puis chef assistant à la Maîtrise de Bretagne (1999-2002) et, depuis 2002, chef de chœur au CNR de Rennes, par ailleurs chargé de cours à l’Université de Musicologie de Haute Bretagne (2004), il oeuvre, depuis la rentrée 2005, comme chef de chœur des Chœurs du Lycée-Collège de Saint-Vincent à Rennes.
Après le Festival, SAISON 2006
Mozart et Salieri d'Alexandre POUCHKINE (avec le Théâtre du Tiroir de Laval (théâtre avec interventions musicales)
Création "Requiem pour un ange" de Pierre MONTAUT-TEXIER
Marie-Claire Mussat : Présidente d’Honneur du FELG, Marie-Claire Mussat a fait ses études secondaires au lycée Ernest Renan de Saint-Brieuc, sa ville natale, avant de partir pour Rennes où elle a obtenu une licence de Lettres classiques, suivi d’un CAPES de Lettres Classiques puis d’une Agrégation de grammaire. Après avoir enseigné pendant quelques années le français, le latin et le grec (lycées de Lamballe, Laval, Rennes), elle devint en 1966 assistante d’histoire de la musique à la Faculté des lettres de l’Université de Rennes. Elle cédait ainsi à son autre passion - la musique. Elle est depuis octobre 2002 Professeur émérite de l’université de Rennes 2. Elle est aussi Présidente de l’Orchestre de Bretagne depuis le printemps 2004, Vice-Présidente du CCNRB (Centre chorégraphique national Rennes Bretagne)/Catherine Diverrès, ainsi que membre du conseil d’administration de festival de musique de Dinard.
Sa thèse de 3è cycle, sur la traduction et le commentaire d’un Traité de la musique écrit en grec au 2e siècle par Aristide Quintilien, fit le pont entre ses études de « langues anciennes » et ses études musicales. Son Doctorat d’Etat, Musique et Société à Rennes aux XVIIIe et XIXe siècles, marquait, en revanche, un souci d’ancrer sa recherche dans la Bretagne mais aussi un intérêt particulier pour l’histoire sociale de la musique et les relations entre politique et culture. Il lui permit de devenir Professeur à l’Université de Rennes 2 (Musicologie).
Elle a fondé dans cette université le département de musique (rappelons que l’enseignement des arts n’existait pas dans les universités françaises avant 1968) qui compte aujourd’hui 500 étudiants, et elle a dirigé pendant onze ans l’U.F.R. des Arts de Rennes II. Pendant 36 ans, elle a enseigné à l’université, à la fois pour les étudiants de musique mais aussi pour ceux d’histoire de l’art et d’arts plastiques : elle se passionne en effet pour la relation entre les différents arts et particulièrement pour tout ce qui touche à l’art contemporain (elle ne manque jamais une FIAC !).
Mais elle aime aussi dépouiller des fonds d’archives du XVIIIe, XIXe et XXe siècles, c’est-à-dire travailler sur des sources premières, et écumer les bibliothèques.
Sa recherche personnelle s’articule autour de trois axes, histoire sociale de la musique, musique contemporaine, compositeurs bretons, que l’on retrouve dans ses publications. Parmi ses ouvrages, citons Musique et société à Rennes aux XVIIIe et XIXe siècles, La Belle Epoque des kiosques à musique, L’Opéra de Rennes, Les Musiciens de la mer, Action et pratiques culturelles, la maison de la Culture de Rennes, Trajectoires de la musique au XXe siècle. Elle a publié une centaine d’articles dont « L’activité des théâtres lyriques en province, 1794-1796 », « La Bretagne dans l’art lyrique » (la Bretagne à l’Opéra), « Les mouvements bretons et la musique, 1867-1940 », « Les Seiz Breur et la musique » « Meyerbeer et la Bretagne : à propos du Pardon de Ploërmel », « Les kiosques à musique dans les villes d’eau : un mode de vie », « Les festivals de musique contemporaine en France depuis 1960 », « La réception de Schönberg en France avant la première guerre mondiale » etc. Elle a apporté sa contribution à divers dictionnaires dont le Dictionnaire de la musique de Larousse, le Dictionnaire Napoléon, (Fayard), le Dictionnaire de la musique en France au XIXe siècle (Fayard). Elle a réalisé plusieurs expositions : « Musiques à voir » (partitions graphiques), « Lully dans les collections bretonnes », « Rameau et le goût nouveau dans les bibliothèques bretonnes », « Mémoire de kiosque ». Elle prépare, en collaboration avec Michel Maréchal, directeur des archives d’Ille-et-Vilaine, une édition critique des lettres de Madame de Pompéry (qui tient entre autres un salon musical à Quimper) qui sortira au printemps 2006 sous le titre : Une femme en Bretagne à la fin du XVIIIe siècle (éd. du Layeur).
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