ROLAND
TOPOR Ci-dessous, dessin de Topor offert à Towarnicki qui, un jour, me le rétrocéda. Le temps est compté, “toutes les heures blessent, la dernière tue”, comme il est écrit au cadran de l’horloge, et le petit homme enfourche l’aiguille de la montre arrêtée pour partir vers l’au-delà : |